Idées
Photos prises par Ursula lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton visant à documenter les textures, tons, formes et couleurs des plantes de la région. Les espèces photographiées sont entre autres le sapin baumier, le cornouiller, le roseau, le jonc, l’épinette et diverses graminées.
Photos prises par Ursula lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton visant à documenter les textures, tons, formes et couleurs des plantes de la région. Les espèces photographiées sont entre autres le sapin baumier, le cornouiller, le roseau, le jonc, l’épinette et diverses graminées.
Photos prises par Ursula lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton visant à documenter les textures, tons, formes et couleurs des plantes de la région. Les espèces photographiées sont entre autres le sapin baumier, le cornouiller, le roseau, le jonc, l’épinette et diverses graminées.
Qu’est-ce que la conservation ?
Qu’est-ce que la conservation ?
Ursula Johnson se présente et décrit le processus auquel elle a eu recours pendant sa résidence au Banff Centre for the Arts pour créer le motif figurant dans les performances et le banquet du 24 juin 2017.
Photos prises par Ursula lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton visant à documenter les textures, tons, formes et couleurs des plantes de la région. Les espèces photographiées sont entre autres le sapin baumier, le cornouiller, le roseau, le jonc, l’épinette et diverses graminées.
Photos prises par Ursula lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton visant à documenter les textures, tons, formes et couleurs des plantes de la région. Les espèces photographiées sont entre autres le sapin baumier, le cornouiller, le roseau, le jonc, l’épinette et diverses graminées.
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Photo: Melinda
Spooner et Eric Le Bel
Galerie d’images
Visite d’Ursula Johnson dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton
à des fins de recherche et de prises de vues photographiques.
En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
géographies.
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Photo: Melinda
Spooner et Eric Le Bel
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à des fins de recherche et de prises de vues photographiques.
En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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Visite d’Ursula Johnson dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton
à des fins de recherche et de prises de vues photographiques.
En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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Visite d’Ursula Johnson dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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Visite d’Ursula Johnson dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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Ursula explique comment les mouvements politiques commencent localement, grâce au dialogue, et se propagent mondialement par l’entremise des médias sociaux.
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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à des fins de recherche et de prises de vues photographiques.
En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
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Spooner et Eric Le Bel
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Visite d’Ursula Johnson dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton
à des fins de recherche et de prises de vues photographiques.
En mai 2016, Ursula Johnson s’est rendue au parc
national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton. Elle a parcouru le site,
entre autres le lac Warren, le ruisseau MacIntosh, le mont North et le sentier
Skyline, en compagnie de son directeur Eric Le Bel, et elle s’est familiarisée
avec plusieurs techniques de restauration visant la régénération de la forêt
grâce à la campagne « Rétablir la forêt boréale ». L’arrière-plan du motif
représente la biodiversité du passé, le plan médian, le rôle du parc sur le
plan écologique, et le premier plan, l’époque actuelle. Le motif de feuillage,
qui sera imprimé et arboré par différents membres de la communauté pendant le
« Festival des intendants », représente la concrétisation de nouvelles
relations et du partage des connaissances en matière de protection de l’environnement. Cet aspect du projet d’Ursula vise à ouvrir la discussion sur la durabilité entre des personnes de tous horizons, révélant ainsi des interprétations de l’art, du lieu et de l’intendance à travers les âges, les cultures et les
géographies.
Documentation photographique par Ariella Pahlke lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Documentation photographique par Ariella Pahlke lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Documentation photographique par Ariella Pahlke lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Documentation photographique par Ariella Pahlke lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Documentation photographique par Ariella Pahlke lors d’une visite au parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
De qui la conservation est-elle la responsabilité ?
Ursula explique pourquoi il est important de travailler avec les enfants et les jeunes.
\À quoi ressemblera votre avenir ?\ »
« Who leads the way? »
Êtes-vous intendant ?
Photo :
Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Photo :
Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Photo :
Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Photo :
Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
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Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
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Rita Taylor – Avec l’aimable permission du Banff Centre for the Arts
L’image numérique du motif de feuillage des
Hautes-Terres-du-Cap-Breton est inspirée du pop art. Ursula trouve surtout son
inspiration dans les bandes dessinées et la culture des jeunes. Elle a créé cette
image à l’aide des couleurs phares de Pantone pour le printemps 2017. L’arrière-plan
consiste en une vue aérienne des lacs Bras d’Or. Ces lacs en forme de
« S » représentés en rose peuvent être considérés comme un logo de
durabilité (« sustainability »), dans le style des BD de superhéros. Au premier plan
figure un sapin baumier qui fait référence aux efforts pour « Rétablir la
forêt boréale » dans les Hautes-Terres-du-Cap-Breton.
Dans la neige, Ursula détermine l’emplacement de la cuisine et du feu en vue du banquet offert à l’occasion de l’événement performatif du 24 juin 2017.
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Ces photos montrent Ursula Johnson lors d’une visite au
terrain de camping du ruisseau MacIntosh en prévision de l’événement performatif et du banquet qui auront lieu
le 24 juin 2017. Le banquet sera composé d’aliments et de mets traditionnels des communautés participantes. L’événement compte également des créations d’artistes et d’artisans locaux – les « collaborateurs issus de la communauté » – sous la forme d’œuvres art, de musique, d’histoires, de mets préparés, etc.
Le banquet consiste en une performance socialement engagée auquel le public participe
en partageant un repas et en discutant. Des liens interpersonnels émergent de ces
conversations et de ce partage. Il s’agit là d’une approche appelée l’esthétique
relationnelle, c’est-à-dire une approche où le spectateur est invité à prendre part à l’œuvre plutôt qu’à simplement l’observer. De plus, en consommant des aliments provenant des terres et des cours d’eau environnants, le spectateur entre en communion avec les écosystèmes, les
cultures et les traditions. Le repas performatif est un catalyseur social et la métaphore d’un lien durable avec l’environnement et les autres.
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Ces photos montrent Ursula Johnson lors d’une visite au
terrain de camping du ruisseau MacIntosh en prévision de l’événement performatif et du banquet qui auront lieu
le 24 juin 2017. Le banquet sera composé d’aliments et de mets traditionnels des communautés participantes. L’événement compte également des créations d’artistes et d’artisans locaux – les « collaborateurs issus de la communauté » – sous la forme d’œuvres art, de musique, d’histoires, de mets préparés, etc.
Le banquet consiste en une performance socialement engagée auquel le public participe
en partageant un repas et en discutant. Des liens interpersonnels émergent de ces
conversations et de ce partage. Il s’agit là d’une approche appelée l’esthétique
relationnelle, c’est-à-dire une approche où le spectateur est invité à prendre part à l’œuvre plutôt qu’à simplement l’observer. De plus, en consommant des aliments provenant des terres et des cours d’eau environnants, le spectateur entre en communion avec les écosystèmes, les
cultures et les traditions. Le repas performatif est un catalyseur social et la métaphore d’un lien durable avec l’environnement et les autres.
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Ces photos montrent Ursula Johnson lors d’une visite au
terrain de camping du ruisseau MacIntosh en prévision de l’événement performatif et du banquet qui auront lieu
le 24 juin 2017. Le banquet sera composé d’aliments et de mets traditionnels des communautés participantes. L’événement compte également des créations d’artistes et d’artisans locaux – les « collaborateurs issus de la communauté » – sous la forme d’œuvres art, de musique, d’histoires, de mets préparés, etc.
Le banquet consiste en une performance socialement engagée auquel le public participe
en partageant un repas et en discutant. Des liens interpersonnels émergent de ces
conversations et de ce partage. Il s’agit là d’une approche appelée l’esthétique
relationnelle, c’est-à-dire une approche où le spectateur est invité à prendre part à l’œuvre plutôt qu’à simplement l’observer. De plus, en consommant des aliments provenant des terres et des cours d’eau environnants, le spectateur entre en communion avec les écosystèmes, les
cultures et les traditions. Le repas performatif est un catalyseur social et la métaphore d’un lien durable avec l’environnement et les autres.
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Ursula talks about why it is important to work with children and young people.